FSC Nina

L’immobilier a une capacité à se régénérer rapidement

05/12/2022

A 33 ans, Nina Griesemann vient de rejoindre le département Immobilier du groupe FSC, aux côtés de Jérôme Buanec. Avec son expertise forte dans l’immobilier et le recrutement, elle entend renforcer la présence du cabinet de chasse sur un secteur dynamique et en pleine transformation. Interview.

 

Vous venez d’intégrer le département Immobilier du groupe FSC. C’est un secteur que vous connaissez bien ?

Nina Griesemann : Oui !  Diplômée d’une école de commerce à Nancy, j’ai fait mes armes chez Hays, un cabinet de recrutement anglo-saxon, au sein de l’équipe Immobilier. Ce fut une expérience très formatrice, durant laquelle j’ai découvert un secteur ultra-dynamique, offrant une diversité de métiers, à la fois techniques, commerciaux, transverses… L’approche du cabinet était très volumétrique et quantitative, avec beaucoup d’indicateurs et de KPI à respecter. Changement de cap en 2018 ! J’ai intégré le cabinet Lincoln, dont l’approche qualitative m’apparaissait intéressante. J’y suis restée 3 ans, avec pour principale mission, celle de développer le périmètre immobilier.

 

En quête de nouveau challenge, vous décidez finalement de rejoindre un cabinet de conseil en organisation & management, dans le secteur immobilier…

N.G : Un sacré challenge, puisque je devais créer un cabinet de recrutement au sein du cabinet conseil. J’avais en charge le volet commercial, le montage de l’offre, le recrutement de l’équipe, des outils… J’ai adoré ce côté « intrapreneuriat », mais finalement j’ai voulu retrouver l’atmosphère cabinet de chasse !

 

Vous découvrez alors le groupe FSC en lisant un post sur LinkedIn !

N.G : Oui, cela s’appelle la force du réseau. J’avais déjà une bonne connaissance du marché, des promoteurs, aménageurs, investisseurs… L’immobilier est un secteur qui a toujours su rebondir, avec une capacité à se régénérer rapidement. Il est très cyclique et réagit épidermiquement aux crises : s’il ressent le moindre soubresaut, il y a toujours un aspect porteur qui le tire vers le haut. La pierre est une valeur sûre, concrète et tangible…

 

Quels sont les métiers les plus prisés ?

N.G : L’immobilier se joue des carcans et des idées reçues. Les métiers sont très diversifiés, et l’émergence de nouvelles pratiques offrent un terrain de jeu à explorer. Le bâtiment durable, la digitalisation, les nouveaux investissements (coworking, colivings…) demandent en effet de nouvelles compétences sur des postes spécialisés. C’est également un secteur qui tend à se féminiser, même sur des profils techniques ou de terrain. Cette capacité à se réinventer, sans cesse, est très stimulante !

 

Au-delà de votre expertise dans l’immobilier, quels sont les passions qui vous animent ?

N.G : j’ai un vrai coup de cœur pour l’Espagne, de Madrid à Séville. Je m’y sens comme à la maison, et j’essaie d’y aller le plus souvent possible. Sinon, j’aime beaucoup marcher dans la nature, flâner dans Paris à la recherche d’un bon petit restaurant car je suis une vraie épicurienne ! Et, pour me détendre, rien de tel qu’un bon polar français ! J’aime les auteurs français, Franck Thilliez bien sûr, mais aussi Jérôme Loubry. J’ai dévoré tous ces bouquins, de vrais thrillers psychologiques, avec du suspense jusqu’à la dernière page !

 

Un dernier mot ?
N.G : Que ce soit dans ma vie professionnelle ou personnelle, je suis quelqu’un de fidèle. Je déteste l’éphémère et la superficialité. La confiance se bâtit au long cours, sur la durée, et je recherche vraiment cette richesse d’esprit, avec mes amis, mais aussi avec les clients et les candidats…